Örebro SK |
KV Mechelen |
29e match européen du KV Mechelen |
1er tour de la Coupe UEFA 1992-93. (Match retour, le 30/09/1992) |
Preud'homme (C) |
M. Erlingmark (C) |
23' |
67' |
66' |
Jonas Larsson (G) |
Yvan de Wilde (G) |
67' |
Jörgen Dunberg |
M. Svend Christensen |
Eyravallen stadion à Örebro. (5.085 spectateurs) |
Les Malinois n'ont jamais été inquiétés (Journal Le Soir du 1er octobre 1992) Le but stupide encaissé en fin de partie par ses troupes lors du match-aller a certainement causé bien des soucis à Fi Van Hoof. En effet, gageons que le brave entraîneur malinois aurait volontiers entrepris ce voyage en terre suédoise nanti d'un avantage de deux buts. Les Anversois, en tout cas, devaient présenter hier une défense hermétique et renforcée. En effet, un seul but scandinave suffisait à faire basculer la qualification dans le camp d'en face. Toutefois, les grands formats malinois semblent bien armés pour contrer la très physique ligne d'attaque suédoise. Sur le terrain, les joueurs d'Örebro ne tardèrent pas à mettre le siège devant le but de Michel Preud'homme, forçant de nombreux coups de coin. Le réveil sonna au quart d'heure de jeu pour les Malinois, qui réagirent vivement pour se créer quelques occasions franches: dès la 20e minute, Eykelkamp, isolé par Andersson, canonnait sur le gardien suédois qui ne pouvait que repousser le ballon; Ingesson manquait hélas de sang-froid à la reprise. Quelques instants plus tard, c'était Versavel, pourtant bien lancé par Leen, qui manquait la cible. Les Suédois entamèrent la seconde période sur le même tempo que la première. C'est-à-dire en maintenant sur la défense malinoise une pression constante, sans toutefois se forger la moindre occasion dangereuse. Patrick Versavel héritait quant à lui d'une deuxième balle de break, mais son tir échouait à nouveau quelques centimètres à côté du but Le FC Malinois, en définitive, contrôlait les échanges sans trop de problèmes, profitant parfaitement du manque de créativité des Suédois et de la grande forme affichée par deux joueurs pourtant à court de compétition: Koen Sanders et Geert Deferm. Ce dernier fournit même à Andersson une remarquable opportunité de jouer un sale tour à ses compatriotes, mais le grand Suédois ne put en profiter Source : Les archives du journal Le Soir |
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